3,5/5

Synopsis

Après avoir rompu avec Mark Darcy, Bridget se retrouve de nouveau célibataire à 40 ans passés et plus concentrée sur sa carrière et ses amis que sur sa vie amoureuse. Pour une fois, tout est sous contrôle ! Jusqu’à ce que Bridget rencontre Jack… Pour ensuite retrouver Darcy… Et découvrir qu’elle est enceinte ! Mais qui est la papa ?

Critique

Douze ans d’absence mais plus besoin de la présenter, l’incontournable Bridget Jones revient en grandes pompes ! Comme beaucoup d’autres films, la saga s’est poursuivi afin de s’étendre sur une nouvelle génération et aussi, pour le plus grand bonheur des premiers fans. Toujours est-il , le scénario se devait novateur avec un challenge quant à la conservation des anciens codes, et c’est plus ou moins réussi. Dans un premier temps, l’histoire : Les rebondissements s’avèrent parfois tirés par les cheveux mais le ton employé pour les mettre en scène reste drôle et enjoué. Le film reprend les codes classiques d’une comédie romantique kitch avec des clichés parfois dépassés, mais c’est justement ce qui positionne les forces plaisantent de l’écriture. Le second point se réfère à celle qui incarne la plus célèbre des célibataires britanniques, Renée Zellweger. A croire que, comme le vin, l’âge lui va de mieux en mieux, l’actrice s’embellit avec le temps. Plus svelte, plus rayonnante, plus fine, ce point d’aspect est légèrement risqué puisqu’il cause une perte quant à l’innocence et à l’attachement du personnage qui avait été instauré dans les précédents numéros. Un manque d’authenticité, parfois surfait mais peu importe, « Bridget Jones Baby » survole avec une sincérité candide un univers naïvement rose bonbon. Ce troisième numéro demeure léger et positif : Un véritable « free movie » savoureux qui donne le smile

Bilan
Quelques fausses notes que la presse ne pardonnera pas. Mais la plume reste légère et souriante ! Un vrai régal !